Dans un monde où les technologies évoluent à une vitesse fulgurante, les métiers du cloud, de l’intelligence artificielle et de la blockchain connaissent une croissance exponentielle. Les entreprises, conscientes de ces changements, renforcent leurs équipes avec des profils hautement spécialisés. Ce dynamisme ouvre de nombreuses opportunités pour les professionnels du secteur numérique. Les innovations récentes ont également conduit à l’émergence de nouvelles professions incontournables. Cet article explore en profondeur les métiers tech qui recrutent activement en 2025. Avec des exemples concrets et des données actualisées, découvrez les rôles clés qui façonnent l’avenir technologique. Plongez au cœur des tendances et des défis rencontrés par ces experts indispensables. Préparez-vous à envisager votre carrière dans un domaine en pleine mutation.
Ingénieur en cybersécurité : le protecteur du monde numérique
À l’ère du tout numérique, la cybersécurité s’impose comme une priorité absolue pour les entreprises de toutes tailles. En 2025, le nombre de cyberattaques continue d’augmenter, rendant le rôle de l’ingénieur en cybersécurité essentiel. Ces professionnels sont chargés de protéger les systèmes informatiques et les données sensibles contre les menaces potentielles. Selon l’ANSSI, près de 4400 cyberattaques ont été recensées en 2024, soit une hausse de 15% par rapport à l’année précédente. Cette hausse constante illustre la nécessité croissante de spécialistes capables de sécuriser les infrastructures numériques.
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Les missions principales de l’ingénieur en cybersécurité incluent la protection proactive des systèmes, l’analyse des vulnérabilités et la mise en place de stratégies de défense. Travaillant souvent en étroite collaboration avec la direction, ces experts élaborent des politiques de sécurité alignées sur les objectifs de l’entreprise. Ils doivent également être capables de réagir rapidement en cas de brèche, en mettant en œuvre des procédures correctives efficaces.

Un autre aspect crucial de leur rôle est la formation des utilisateurs aux bonnes pratiques de cybersécurité. En sensibilisant les employés, ils réduisent les risques d’erreurs humaines qui peuvent compromettre la sécurité des données. Cette double approche préventive et corrective fait de l’ingénieur en cybersécurité un pilier indispensable du numérique au sein de l’entreprise.
Les compétences clés en cybersécurité
Pour exceller dans ce métier, une maîtrise approfondie des normes de sécurité telles que ISO est indispensable. Les ingénieurs doivent également posséder une solide connaissance des aspects légaux et éthiques liés à la protection des données. La capacité à identifier les vulnérabilités, analyser les risques et gérer les incidents de sécurité est essentielle.
- Maîtrise des normes de sécurité (ISO, GDPR)
- Compétences en analyse de risques
- Connaissance des outils de protection et de détection
- Capacité à former et sensibiliser les utilisateurs
- Gestion des incidents et mise en place de plans de secours

En termes de rémunération, le salaire d’un ingénieur en cybersécurité varie en fonction de l’expérience et de la localisation. En début de carrière, il peut s’attendre à un salaire annuel brut compris entre 40 000 et 50 000 euros, pouvant atteindre 80 000 euros après dix ans d’expérience. Les freelances, quant à eux, voient leur taux journalier moyen (TJM) varier entre 480 et 1300 euros, en fonction de leur expertise et de la complexité des projets.
Niveau d’expérience | Salaire annuel brut (€) | Fourchette de TJM (€) |
---|---|---|
Débutant | 40 000 – 50 000 | 480 – 700 |
Intermédiaire | 60 000 – 70 000 | 800 – 1000 |
Sénior | 80 000+ | 1100 – 1300 |
Des entreprises comme OVHcloud et Scaleway sont constamment à la recherche de ces profils pour renforcer leur sécurité. Avec l’augmentation des cybermenaces, la demande pour ces experts reste en forte croissance, offrant de nombreuses opportunités professionnelles.
Ingénieur en IA et machine learning : les architectes de l’avenir
L’intelligence artificielle et le machine learning révolutionnent les secteurs d’activité, transformant la manière dont les entreprises opèrent. En 2025, ces technologies sont devenues incontournables pour améliorer les processus, personnaliser les services et prendre des décisions basées sur des données. Selon Gartner, les dépenses mondiales liées à l’IA générative devraient augmenter de 76% par rapport à 2024, reflétant une adoption massive dans divers secteurs.

Les ingénieurs en IA et machine learning conçoivent et optimisent des modèles d’apprentissage automatique capables de simuler le raisonnement humain. Ils collectent et préparent les données nécessaires, développent des algorithmes complexes, et intègrent ces solutions au sein des systèmes existants. Leur expertise permet aux entreprises de résoudre des problèmes complexes et de gagner en autonomie décisionnelle.

Ces professionnels sont sollicités dans divers secteurs tels que la santé, la finance, et l’audiovisuel. Leur rôle est crucial pour maintenir la compétitivité et stimuler l’innovation au sein des entreprises. Des entreprises comme it-definition-et-utilite/ »>DeepMind et Dataiku sont à la pointe de cette révolution, développant des solutions avancées pour analyser et exploiter les données de manière efficace.
Les missions de l’ingénieur en IA et machine learning
Un ingénieur en IA et machine learning a pour mission de concevoir des modèles prédictifs et d’optimiser les algorithmes existants. Il collabore avec les équipes de data science et IT pour intégrer ces modèles dans les applications et services de l’entreprise. De plus, il est responsable de la maintenance et de l’amélioration continue des systèmes d’IA.
- Collecte et préparation des données
- Développement et optimisation d’algorithmes
- Intégration des modèles d’IA dans les systèmes existants
- Analyse des performances et ajustements nécessaires
- Collaboration avec les équipes pluridisciplinaires

Le salaire d’un ingénieur en IA et machine learning varie également en fonction de l’expérience et de la localisation. En début de carrière, il peut gagner entre 40 000 et 55 000 euros bruts annuels. Avec plusieurs années d’expérience, ce salaire peut atteindre 80 000 euros, voire plus de 100 000 euros pour les experts les plus expérimentés. Pour les freelances, la fourchette de TJM se situe généralement entre 370 et 980 euros.
Niveau d’expérience | Salaire annuel brut (€) | Fourchette de TJM (€) |
---|---|---|
Débutant | 40 000 – 55 000 | 370 – 500 |
Intermédiaire | 60 000 – 80 000 | 600 – 800 |
Sénior | 100 000+ | 900 – 980 |
Des acteurs majeurs comme DeepMind et AkinovA investissent massivement dans ce domaine, créant ainsi une forte demande pour ces compétences. La formation continue et l’adaptation aux nouvelles technologies sont essentielles pour rester compétitif dans ce secteur dynamique.
Data scientist : le stratège des données
Le data scientist est devenu un métier incontournable dans le paysage technologique actuel. En 2025, le volume de données générées quotidiennement a explosé, poussant les entreprises à chercher des experts capables de les analyser et d’en extraire des informations pertinentes. Selon Deloitte, 67 % des entreprises en France prévoient d’augmenter leurs investissements dans l’analyse de données en 2024, soulignant l’importance croissante de ce rôle.
Les data scientists transforment des données brutes en informations exploitables. Ils analysent des ensembles de données diversifiées et complexes pour identifier des schémas comportementaux et des tendances significatives. Ces insights permettent aux entreprises de prendre des décisions stratégiques éclairées, d’optimiser leurs opérations et de découvrir de nouvelles opportunités de marché.
Travaillant souvent en collaboration avec différentes équipes, le data scientist joue un rôle central dans la chaîne de traitement des données. Que ce soit dans les secteurs de la santé, de la finance ou de l’audiovisuel, leur expertise est cruciale pour maximiser l’utilisation des données disponibles.
Les missions d’un data scientist
Le data scientist a pour mission de transformer des données brutes en informations stratégiques. Cela implique plusieurs étapes clés :
- Collecte et nettoyage des données pour assurer leur qualité et leur pertinence.
- Analyse exploratoire pour identifier des tendances et des corrélations.
- Développement de modèles prédictifs utilisant des techniques statistiques et de machine learning.
- Visualisation des données pour communiquer efficacement les résultats aux décideurs.
- Recommandations stratégiques basées sur les insights obtenus.
Leur rôle ne se limite pas à l’analyse des données. Les data scientists sont également chargés de concevoir des produits digitaux data-driven, permettant une génération automatisée de résultats. En tant qu’intermédiaires entre les équipes techniques et les autres départements, ils facilitent la communication et l’intégration des données dans les processus décisionnels.
- Optimisation des processus opérationnels
- Réduction des coûts grâce à l’analyse des données
- Identification de nouvelles opportunités commerciales
- Amélioration de l’expérience client
- Développement de produits innovants basés sur les données
En termes de rémunération, un data scientist junior peut s’attendre à un salaire d’environ 45 000 euros bruts annuels, tandis que ceux avec plusieurs années d’expérience peuvent atteindre 100 000 euros bruts annuels. Pour les freelances, la fourchette de TJM se situe généralement entre 350 et 955 euros, en fonction de leur spécialisation et de la complexité des projets.
Niveau d’expérience | Salaire annuel brut (€) | Fourchette de TJM (€) |
---|---|---|
Junior | 45 000 | 350 – 500 |
Intermédiaire | 70 000 | 600 – 800 |
Sénior | 100 000 | 900 – 955 |
Des entreprises innovantes comme Dataiku et Mirakl recrutent activement ces talents pour tirer parti des données massives et rester compétitives sur le marché. Avec l’essor des technologies Big Data, le rôle du data scientist demeure stratégique et en constante évolution.
Ingénieur DevOps : le facilitateur de l’innovation
Le DevOps est une approche qui combine les équipes de développement (Dev) et d’exploitation (Ops) pour améliorer l’agilité et la rapidité des cycles de développement logiciel. En 2025, cette méthodologie continue de gagner en popularité, avec 87 % des entreprises françaises affirmant que les approches agiles et DevOps sont essentielles à leur transformation numérique. L’ingénieur DevOps joue un rôle clé en automatisant les processus et en assurant la fiabilité des systèmes.
Les ingénieurs DevOps sont responsables de la conception, la planification et la gestion des applications. Ils élaborent des méthodes d’automatisation pour faciliter les déploiements continus et garantir une intégration fluide entre les différentes phases de développement. En créant des environnements de test robustes et en optimisant les infrastructures, ils permettent aux équipes de développement de se concentrer sur l’innovation tout en maintenant une qualité élevée des produits.

Le métier nécessite une combinaison de compétences techniques et humaines. Les ingénieurs DevOps doivent maîtriser les outils de gestion des infrastructures, tels que Docker et Kubernetes, tout en étant capables de communiquer efficacement avec différentes équipes. Leur expertise permet de réduire les délais de mise sur le marché et d’augmenter la satisfaction client grâce à des déploiements plus rapides et plus fiables.
Les missions clés de l’ingénieur DevOps
L’ingénieur DevOps a pour mission de faciliter la collaboration entre les équipes de développement et d’exploitation. Ses responsabilités incluent :
- Automatisation des processus de déploiement
- Gestion et provisionnement des infrastructures
- Sécurisation des systèmes informatiques
- Optimisation des performances des applications
- Surveillance et maintenance continues des environnements de production
Le salaire d’un ingénieur DevOps débute généralement entre 45 000 et 55 000 euros bruts annuels. Avec une décennie d’expérience, il peut dépasser les 85 000 euros. Pour les freelances, le taux journalier moyen varie entre 465 et 850 euros, selon la complexité des projets et le niveau d’expertise.
Niveau d’expérience | Salaire annuel brut (€) | Fourchette de TJM (€) |
---|---|---|
Débutant | 45 000 – 55 000 | 465 – 600 |
Intermédiaire | 65 000 – 75 000 | 700 – 800 |
Sénior | 85 000+ | 850 |
Des entreprises comme Akka Technologies et Mirakl recherchent activement des ingénieurs DevOps pour optimiser leurs processus de développement et garantir la qualité des produits livrés. En intégrant des pratiques DevOps, ces entreprises améliorent non seulement leur efficacité, mais aussi leur capacité à innover rapidement.
Architecte cloud : concepteur des infrastructures du futur
La migration vers le cloud s’accélère en 2025, avec une adoption croissante des solutions hybrides et multi-cloud. Selon une étude de Nutanix, 57 % des leaders IT en France utilisent déjà une infrastructure multicloud hybride, avec une prévision d’augmentation à 69 % d’ici 2026. Dans ce contexte, le rôle de l’architecte cloud devient indispensable pour concevoir, déployer et gérer des infrastructures cloud sécurisées et évolutives.
L’architecte cloud est responsable de la gestion et du stockage des données sur le cloud. Il assure la sécurité et la fiabilité des systèmes en réalisant des tests fonctionnels et techniques. En intégrant les différentes technologies d’IA et d’analyse, il crée et optimise les schémas technologiques du cloud, facilitant ainsi la communication entre les divers outils et plateformes.

Ce professionnel collabore étroitement avec les équipes IT pour garantir que les solutions cloud répondent aux besoins spécifiques de l’entreprise. Il veille également à la formation des utilisateurs et à la gestion des accès, garantissant une utilisation optimale et sécurisée des ressources cloud.
Les missions d’un architecte cloud
L’architecte cloud a pour mission de concevoir et optimiser les infrastructures cloud. Ses responsabilités incluent :
- Conception de l’architecture cloud adaptée aux besoins de l’entreprise
- Déploiement et gestion des services cloud
- Sécurisation des données et des accès
- Optimisation des performances et de la consommation énergétique
- Formation des utilisateurs et gestion des ressources
Les compétences techniques indispensables comprennent la maîtrise des services cloud tels qu’OVHcloud et Scaleway, ainsi que des connaissances approfondies en sécurité informatique et en gestion des bases de données. De plus, une compréhension des technologies émergentes comme l’IA et l’IoT est un plus.
- Expertise en cloud computing (AWS, Azure, Google Cloud)
- Compétences en sécurité et conformité
- Connaissance des outils de gestion et d’orchestration
- Capacité à concevoir des solutions évolutives et résilientes
- Compétences en gestion de projet et en communication
En termes de rémunération, un architecte cloud débutant peut s’attendre à un salaire autour de 45 000 euros bruts annuels. Avec l’expérience, ce salaire peut dépasser 80 000 euros. Les freelances dans ce domaine bénéficient d’une fourchette de TJM allant de 400 à 1 100 euros, en fonction de leur expertise et de la complexité des missions.
Niveau d’expérience | Salaire annuel brut (€) | Fourchette de TJM (€) |
---|---|---|
Débutant | 45 000 | 400 – 600 |
Intermédiaire | 60 000 – 80 000 | 700 – 900 |
Sénior | 80 000+ | 1000 – 1100 |
Des sociétés innovantes comme OVHcloud et AkinovA recrutent ces experts pour assurer la continuité et l’efficacité de leurs infrastructures cloud. L’architecte cloud joue un rôle déterminant dans la transformation numérique des entreprises, en garantissant une infrastructure robuste et flexible adaptée aux besoins actuels et futurs.
Développeur blockchain : les architectes de la transparence
La blockchain est au cœur des solutions de traçabilité et de transparence, permettant aux entreprises de suivre l’origine et le parcours de leurs produits de manière sécurisée et immuable. En 2025, ce domaine connaît une adoption croissante, transformant les normes de gestion de la chaîne d’approvisionnement. Les développeurs blockchain sont essentiels pour concevoir des systèmes qui assurent cette transparence.
Les développeurs blockchain conçoivent des outils et des plateformes qui permettent de suivre l’origine et le parcours des produits. Cette technologie est particulièrement utilisée dans des secteurs comme l’agroalimentaire, la logistique et la finance, où la traçabilité est cruciale pour garantir la qualité et la sécurité des produits. Par exemple, une entreprise peut utiliser la blockchain pour tracer l’origine de ses matières premières, assurant ainsi aux clients une transparence totale.

En plus de la traçabilité, les développeurs blockchain jouent un rôle clé dans la sécurisation des transactions et la création de contrats intelligents (smart contracts). Ces contrats automatisés permettent de garantir l’exécution des accords sans nécessiter d’intermédiaires, réduisant ainsi les coûts et les risques de fraude.
Les missions d’un développeur blockchain
Un développeur blockchain a pour mission de concevoir et implémenter des solutions décentralisées. Ses responsabilités incluent :
- Développement de smart contracts
- Création de dApps (applications décentralisées)
- Intégration de la blockchain avec les systèmes existants
- Assurer la sécurité et la robustesse des solutions blockchain
- Collaborer avec les équipes de développement et les parties prenantes
Les compétences techniques nécessaires incluent une maîtrise des langages de programmation tels que Solidity, ainsi qu’une compréhension approfondie des protocoles blockchain comme Ethereum et Hyperledger. De plus, une connaissance des principes de cryptographie et de sécurité est indispensable pour garantir l’intégrité des solutions développées.
Compétences | Description |
---|---|
Programmation Solidity | Développement de smart contracts sur Ethereum |
Connaissance des protocoles blockchain | Compréhension des mécanismes d’Ethereum, Hyperledger, etc. |
Cryptographie | Implémentation des techniques de sécurité des données |
En termes de rémunération, un développeur blockchain peut espérer un salaire annuel brut compris entre 50 000 et 70 000 euros en début de carrière, avec des augmentations significatives en fonction de l’expérience et de la complexité des projets. Les freelances, quant à eux, bénéficient d’une fourchette de TJM allant de 500 à 1200 euros, selon leur spécialisation et les exigences des missions.
Des entreprises innovantes comme Ledger et Mirakl recherchent activement des développeurs blockchain pour renforcer la transparence et la sécurité de leurs opérations. Avec l’essor de cette technologie, le rôle du développeur blockchain est plus pertinent que jamais, offrant des perspectives de carrière solides et en pleine expansion.
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